Après les interminables lacets qui nous mènent jusqu'à Mamode Camp, nous sommes déjà à 1 200 m d'altitude, il fait frais, on respire ! Les premières centaines de mètres sont un vrai boulevard sous les cryptomérias :
Puis nous entrons dans la réserve de la Roche écrite où vivent seulement une trentaine de couples de Tuit-tuit, dont voici la bobine vu qu'il est très difficile d'en voir de près :
Nous progressons dans la forêt de bois de couleurs avec ses belles fougères arborescentes :
Il fait super beau !!
Le sentier est un peu humide, les parois sont recouvertes de mousses :
Puis nous atteignons une partie qui a brûlé en 2013...
La montée progressive continue, entre les racines et les marches
Sur cette partie, de nombreux bambous calumets bordent le chemin
Puis c'est le domaine du tamarin blanc des hauts ; certains vieux spécimens ont été couchés par des vents cycloniques, mais servent toujours de support aux plantes épiphytes
Il règne un silence incroyable (si l'on fait abstraction de notre respiration plus ou moins essoufflée!!)
Ce tronc d'arbre particulier indique que l'on se rapproche du gîte de la plaine des chicots, au bout de 2 heures.
Si vous avez toujours voulu voir comment c'est sous un arbre sans jamais avoir osé le demander, voilà c'est fait :
Voilà enfin le gîte, on ne s'attarde pas, il y a encore 4 km de montée...
La végétation change du tout au tout ; à nous la crème solaire, les lunettes et les chapeaux !
Voilà notre objectif, tout là-bas :
Mais soudain... que se passe-t-il ?? Oh nooooooooon !!!!!!
De quoi de quoi ???? Mais çaaaaaaaa !!!!! Les nuaaaaages !!! On se dépêche autant qu'on peut mais...
C'est tout bouché !!! On voit quand même le point géodésique qui marque le sommet,
preuve à l'appui,
la seule vue que nous aurons sera une petite trouée sur l'ouest, la Rivière des Galets... Dommage !!
Ah oui au fait, Roche écrite parce que... le sol est recouvert de dessins et graffiti en tous genres
Le repas rapidement avalé, il ne nous reste plus qu'à redescendre. On aimerait rester encore un peu, au cas où ça se lèverait, mais un petit vent nous pousse à quitter les lieux.
Nous reprenons le chemin emprunté à l'aller, dans une ambiance plus mystérieuse...
Bon allez je suis sympa, j'ai fouillé dans mes archives... Voilà ce que vous auriez dû voir :
oui, y'a des photos à donner le vertiges.
RépondreSupprimerGros bisous
Le Tuit-tui du continent
Le "S" est naturellement là pour rendre le vertige plus impressionnant
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